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Sur le pistolet libre et les armes

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Sur le pistolet libre et les armes Empty Sur le pistolet libre et les armes

Message  longrifle Jeu 16 Déc - 21:18

Le pistolet libre à 50 mètres et la plus difficile de toutes les épreuves de tir olympique. Bien que ce soit une discipline qui apporte beaucoup de frustration quand on veut la maîtriser, il n'en est pas une seule autre qui apporte autant de satisfaction quand tout va bien. Quoi de mieux que de tenir 10 impacts dans la surface du 9 ? Vous direz : et pourquoi pas dans la surface du 10 ? si cette question vous effleure l'esprit, c'est que, ou bien vous êtes un optimiste indécrottable, ou bien vous n'avez jamais tiré vraiment au pistolet libre...

Les règles du tir au pistolet libre sont assez simples. Cette arme doit tirer des cartouches de 22 long rifle et posséder des éléments ouverts de visée. La poignée ne doit pas dépasser la cassure du poignet. Il n'y a pas de limite concernant la longueur du canon, la longueur de la ligne de mire ou la force de résistance de la détente. C'est l'index de la main qui tient le pistolet qui doit appuyer sur la détente. L'arme peut contenir un chargeur, mais le chargement doit s'effectuer au coup par coup. Les matchs durent deux heures pour un total de 60 coups. Le tireur peut effectuer autant de tirs d'essais qu'il le souhaite, mais avant la première balle de concours. La cible est la même que celle qui est utilisée pour le 25 mètres pistolet standard ou pistolet de sport série précision. Comme dans toutes les épreuves de tir aux armes de poing de la fédération internationale de tir sportif, le pistolet libre se pratique debout, l'arme tenue à bras franc.

à l'intention des débutants, voici quelques-uns des pistolets les plus utilisés.

Des pistolets pour les débutants

Drulov

de fabrication tchèque, ce pistolet à levier de culassea été extrêmement populaire à travers toute l'Europe et dans le Commonwealth en tant que pistolet de club. Le modèle 70 avait des organes de visée très médiocres. Le réglage en direction se faisait au cran de mire, et le réglage routeur se faisait sur le guidon. Le modèle 75 étaient équipés d'un réglage en direction et hauteur sur le cran de mire, mais sa poignée était tout à fait rudimentaire. Le modèle 90, plus raffiné, était équipé d'un talon de crosse. Sur tous les modèles il était possible de modifier la gâchette, bien que que les modèles anciens déconcertaient un peu les tireurs: c'est un bouton qui faisait office de détente. Dans le modèle 90, tout cela était modifié, une tige pliait donner plus l'impression d'une détente conventionnelle

Thompson Center Contender
Très apprécié dans l'épreuve de tir sur silhouettes, le modèle 22 LR n'est pas assez agréable d'emploi pour être considéré comme un pistolet libre sérieux. L'absence d'une vraie poignée de matchet d'une vraie détente prend cette arme difficile à contrôler, même en comparaison d'un Drulov. C'est pourtant un pistolet bien fini et précis.

Webley & Scott
le British classic. Ce canon basculant était extrêmement populaire dans les clubs jusque dans les années 70. Les éléments de visée sont un peu sommaires, et il est difficile de faire descendre le poids de détente à moins de 500 grammes si l'on veut garder un minimum de sécurité



les pistolets compétitifs
Hämmerli
probablement le premier pistolet libre historique. La série 102 a été lancée dans les années 1950, et quelques-uns des modèles 102-107 tirent encore en compétition de nos jours. Ce pistolet était équipé d'une culasse Martini à bloc tombant, fonctionnait au coup par coup, disposait d'une crosse anatomique complètement enveloppante et d'excellents organes de visée. aujourd'hui, certaines pièces détachées commencent à être difficiles à trouver, mais ce pistolet reste une option valable en compétition. Le modèle 120 des années 1970 ne coûtait pas trop cher, avec sa poignée standard peu sophistiquée et sa détente mal fixée en plastique. malgré cela, il tirait remarquablement bien, au grand embarras des nombreux tireurs qui utilisaient des armes beaucoup plus coûteuses.
Les modèles 150 et 152 se caractérisaient par leurs canons flottant au-dessus du fût. Equipés d'un bloc tombant plus perfectionné, ces pistolets connurent beaucoup de succès internationaux dans les années 1980. Le modèle 150 était doté d'un mécanisme classique de détente, le modèle 152 avait une détente électronique.
Dans les années 1990 apparurent les modèles 160 et 162, mécanique pour le 160, électronique pour le 162. Cette fois le fût été fabriqué en plastique noir. Les acheteurs étant un peu réticents à la vue de cette pièce synthétique, la marque produisit un modèle 160 spécial qui fut assez populaire.

Dorénavant, le Hämmerli est construit par une autre société suisse, SAM. Le FP10 possède un système de contrepoids intéressant monté sur des tiges mobiles. Cependant, ce nouveau modèle n'a pas réussi à redonner à Hämmerli sa popularité d'antan parmi les tireurs de niveau international.

Morini
Le CM84E devait devenir le plus populaire de la génération des pistolets libres. Encore un mécanisme à culasse tombante,il était équipé d'une détente électronique avec une sécurité intégrée. Si le doigt qui appuie sur la détente de franchit pas un rayon dans le . pontet, le pistolet ne peut pas déclencher le tir. Le canon et la ligne de mire sont longs, même pour un pistolet libre, ce qui signifie que les coups qui sont bien partis sont réellement bien partis. La poignée du Morini est probablement ce qui se fait de mieux dans le domaine des productions d'usine.

Pardini
On ne peut pas dire qu'aucun des pistolets libres Pardini soit très séduisant d'aspect, mais ils sont efficaces. Le modèle original était le PGP75 de 1979, un engin assez lourdaud, à levier de culasse, dont la détente faisait une protubérance en avant de la crosse. Un double contrepoids en fil de fer caracolait en avant du canon, fournissant un appui au contrepoids mobile en avant du fût. Le K 50, plus élégant, fut produit en 1994. Cette fois, le contrepoids mobile, attaché à litige beaucoup plus solide, était suspendu au-dessus du canon. Le modèle d'aujourd'hui est le K 22. Plus joli que ces ancêtres, il ne semble pas engendrer la même confiance que ses prédécesseurs chez les tireurs de compétition.

Steyr
Bien que Steyr ait certainement dominé, les années 90 avec son pistolet à air comprimé, son pistolet libre n'a pas le même succès. Il promettait beaucoup avec une culasse tombante très améliorée juste en avant du pontet, ce qui donnait une position très basse au canon lui-même, et des niveaux de réglage qu'on voit rarement dans les pistolets de tir à la cible. Mais il a donné en compétition des résultats assez médiocres, il n'a jamais réussi à détrôner le roi de son château, le roi des pistolets libres qui est le suivant sur cette liste.

Vostok
Le Toz 35 est véritablement un pistolet remarquable. Il domine la compétition depuis quarante ans. Et, à moins que quelqu'un produise une arme totalement révolutionnaire, il n'y a pas de raison de penser que les choses puissent changer rapidement. À la base, c'est une version russe d'un des premiers modèles Hämmerli. Rien n'est particulièrement bien soigné, l'usinage est correct sans plus, et les poignées d'usines sont assez inconfortables. Le mieux que vous puissiez lui faire, c'est de lui acheter une poignée Morini. Mais la détente, quand elle est bien réglée, est remarquablement régulière. En outre, l'équilibre général lui permet de pardonner beaucoup d'erreurs. La ligne de visée n'est pas particulièrement longue, ce qui apporte probablement beaucoup au confort général de tir. Un bon tireur équipé d'un Toz ne fera peut-être pas autant de 10 qu'un tireur de la même valeur équipé d'un Hämmerli, d'un Pardini ou d'un Morini, mais il fera moins de 8.

Le russe MU55 (ou MTs55) selon votre alphabet n'est pas aussi courant que le précédent. Encore une fois, la poignée d'origine est difficile à gérer. Si Franck Dumoulin, le champion olympique de l'an 2000 au pistolet à air comprimé, le vainqueur de la finale de la coupe du monde au pistolet libre de l'an 2000 également, n'avait pas utilisé cet arme, je n'en aurais même pas parlé. Pourtant, il existe de parlement d'un certain nombre d'enthousiastes qui ne jurent que par ce pistolet.

Walther

Au cours des années 1970, Walther produisit un pistolet libre doté d'une détente électronique. On n'en a pas dit beaucoup de bien. c'est une arme assez lourde, qui souffre de problèmes de détente.

Comment tirer au pistolet libre

avant le match

Une compétition de tir au pistolet libre est l'équivalent d'une course de marathon. Évidemment, c'est plus un marathon mental, mais la plupart des tireurs sont épuisés à la fin d'un de ces matches. Il faut donc vraiment être préparé mentalement et physiquement pour cette épreuve, et être complètement prêt à sortir la meilleure des performances dès qu'on tire la première balle.

La plupart des compétitions importantes se tirent le matin. Il est donc important de se lever au moins trois heures avant le match. Si on le peut, quatre heures, c'est encore mieux, surtout si l'on n'est pas du matin. Cela donne au corps largement le temps de se mettre en route et de digérer le petit déjeuner.

Quant à moi, je relis mes notes de tir pendant une heure avant le match. Pas le genre de carnet d'adresses avec les dates, les conditions météo et les scores, mais un rappel résumé des pensées que j'ai accumulées au cours des années, et qui me rappellent comment on fait pour bien tirer. C'est une séance de renforcement positif à un moment critique. Cette technique me garantit aussi contre le risque de répéter des erreurs classiques, celles qui se glissent dans notre esprit au moment où elles ne le devraient pas.

Il est également excellent de s'échauffer lentement, 30 minutes avant d'arriver sur la ligne de tir. Il suffit de s'étirer doucement, de vérifier que les muscles sont prêts et qu'ils répondent bien.

Certains tireurs aiment bien prendre leur pistolet et effectuer quelques tirs à sec, ou tout simplement viser un mur dans un coin tranquille.cette opération peut avoir lieu deux heures avant, une heure avant, une demi-heure avant - c'est à chacun de décider, par tâtonnements successifs.

Un temps de préparation

Classiquement, ce sont les dix minutes que les nouveaux tireurs utilisent pour mettre en place leur longue-vue, pour noircir leurs éléments de visée, pour ranger les cartons et les munitions sur la table de tir, et puis ils bavardent avec leurs voisins en attendant le début de match. Il peut sembler que deux heures constitue un temps amplement suffisant pour tirer soixante cartouches, mais au coup de sifflet de départ je veux être prêt à tirer efficacement ma première balle.

L'équipement peut être préparé avant que le temps d'échauffement commence. Il faut environ 10 minutes pour se sentir bien dans sa position de tir. On tire quelques coups à sec pour s'imprégner des conditions du pas de tir (auteur de la table de tir, éclairage, température etc.)Tirez vos balles à sec comme si c'étaient des vraies balles. Au commandement « commencer le feu » vous serez chaud mentalement et physiquement, et prêt à commencer la compétition.

les coup d'essai

si vous employez de manière constructive le temps de votre échauffement, vous n'aurez pas besoin de 20 coup d'essai pour être prêt attiré votre match. Si le premier coup sont correctes, il me suffit d'en tirer 3, 4,5 ou 6 avant de commencer mon match. Grâce à cette technique, j'ai un peu plus de temps devant moi si je dois faire face à une période de haut ou ne se passe pas bien pendant mon tir réel, c'est-à-dire que ça me donne le temps de me reposer, de me reconcentrer et de recommencer à tirer.

Cette technique ne fonctionne pas pour tous les tireurs. Certains préfèrent tirer autant de coûts d'essais qu'il est nécessaire à fin de se sentir lèse avant de commencer le match. Si cette méthode vous aide à apaiser vos nerfs, allez-y. Essayez d'éviter de tirer 5,10 ou 20 coups, c'est-à-dire une série que l'on peut compter mentalement. Si vous tiriez par exemple un 93 pendant une série d'essais de 10 balles, quel que soit le contrôle que vous posséder sur vous-même, vous ferez des comparaisons entre votre série d'essai et les séries de tir de match, ce qui est très destructeur, très rapidement, pendant une compétition.

un plan de match

ne pensait pas que la longue période que dure la compétition vous évite d'organiser votre compétition et de vous préparez à faire face aux périodes difficiles. Tout peut arriver, et créer une certaine panique, comme, par exemple le tireur voisin qui tire dans votre cible. En soi ce n'est pas un gros problème, mais il faut avoir prévu le temps nécessaire pour se reconcentrer après une distinction importante.

il faut faire attention nombre de balles que l'on tire entre deux poses. Bien sûr, si la situation se dégrade, il faut prévoir des plans de rechange.on vous préparant à cette situation, vous n'aura pas l'impression d'improviser et ainsi de perdre votre confiance en vous. Si vous contrôlez vos actes, vous aurez plus de contrôle sur votre pensée, et, bien sûr, sur le résultat de la compétition.

Préparez votre tir au pistolet libre

les recommandations qui vont suivre valent pour tous les débutants. Avec le temps, chacun construit son propre chemin, mais en respectant les conseils qui vont suivre on peut éviter les les erreurs les plus courantes :

-- n'ayez pas une détente trop légère. Il faut assez de résistance pour pouvoir poser son doigt avec confiance sur la détente, quelle que soit la température que vous rencontrerez au pas de tir. Si vous réglez trop léger, et s'il fait froid, vous aurez peur de toucher seulement la détente. Je recommande même une détente lourde, disons au moins 100 grammes, ce qui vous permet d'éviter d'anticiper le départ du coup. Ce n'est pas parce qu'une détente est réglée légère qu'il est facile de tirer de meilleurs scores ; la plupart du temps, c'est le contraire qui est vrai (sans tomber dans le ridicule).

-- soutiré avec une poignée anatomique enveloppante, ne la serrez pas trop fortement sur votre main au risque d'y créer une pression inutile. Cela vous empêcherait d'obtenir une pression régulière de votre main sur la crosse.les crosses réglables sont préférables, parce que votre main n'a pas le même volume en été ou en hiver. Contentez-vous de régler la crosse pour qu'elle vous donne un support plus qu'une compression.

-- soyez absolument sûr de tirer sur votre cible, la vôtre, avant même de lever votre pistolet. La plupart des erreurs de cible se produisent dans l'épreuve du pistolet libre. Car les cibles sont loin et la différence d'angle de tire entre votre cible et celle de votre voisin n'est pas si grande que ça. Avec un peu de métier votre position corporelle vous amènera automatiquement votre pistolet sur la cible correcte, mais, quand vous commencez à fatiguer, vos sensations oculaires peuvent également changer. Vérifiez le numéro de votre cible quand vous levez votre pistolet, ce qui vous donne le temps de vous concentrer à nouveau sur votre bras et sur les éléments de visée avant de penser à tirer.

-- si c'est possible, ne suivez pas la mode d'incliner la queue de détente selon un angle personnel. Cela peut être indispensable pour certains tireurs aux doigts très courts, mais, même avec une détente légère, toute la force que vous vous appliquez sur la queue de détente doit être dirigée en ligne droite vers l'arrière.

--n'ayez pas peur de limiter votre recours à la longue-vue. Dans cette épreuve, la plus difficile de toutes les compétitions au pistolet, il est facile de se laisser distraire par des détails mineurs, tels que le score, quand tous vos efforts ont besoin d'être concentrés sur la technique elle-même. Vérifier sa cible après cinq ou dix coups n'est pas une mauvaise idée, spécialement quand on est débutant. Cependant, si les conditions de lumière changent, ce n'est pas une bonne idée de négliger sa longue-vue, parce que ces changements de lumière peuvent modifier le point d'impact moyen.

--au cours de cette compétition il est assez habituel de ne pas produire un tir régulier. Si vous faites un 75 après un 90, vous serez en bonne compagnie, parce que ça arrive même au meilleur champion. Mais soyez conscients que cela provient d'une baisse du niveau de votre concentration. C'est une punition, n'en fait pas une montagne.

-- au cours des compétitions importantes, comme les championnats nationaux, les organisateurs installent des fanions sur les côtés de la ligne de tir. Si vous ne savez pas comment on s'en sert, ignore- les. Le vent fera osciller votre corps beaucoup plus puissamment que la trajectoire de votre balle. Si les bourrasques sont assez fortes pour déplacer l'impact de votre balle en dehors de la cible à 50 mètres, votre problème majeur sera probablement de pouvoir rester debout...

-- Connaissez votre pistolet. Si vous tirez avec une détente électronique, ayez une batterie de réserve et apprenez à la remplacer vous-même. N'oubliez pas d'emporter les outils nécessaires. Les ressorts d'armement du percuteur du pistolet TOZ ont l'habitude de perdre leur énergie très rapidement ; et donc, une fois vous avez un défaut de percussion, l'autre fois un départ non contrôlé. Il faut seulement cinq minutes pour changer le ressort ou le percuteur. Si vous pouvez faire cela vous- même, vous vous épargnez une quantité de stress, et vous n'aurez pas besoin de demander à l'arbitre une interruption du tir.

-- Les finales

Les finales au pistolet libre sont probablement les plus difficiles de toutes, parce qu'une faible coordination de notre moteur interne peut nous apporter une cruelle punition. En finale, si c'est un match important, on devient nerveux. C'est facile à comprendre, et c'est inévitable. Notre pouls accélère, l'adrénaline inonde notre corps et notre arme se met à trembler, généralement très fort. Plus on est fatigué par la compétition, plus il est difficile de contrôler son index, encore plus si on a réglé sa détente très légère. Certains tireurs ont appris à contrôler leur niveau d'énervement par les techniques de self relaxation. J'ai découvert que ces méthodes fonctionnent très bien, jusqu'au moment où j'entends le commandement « ouvrez le feu ! », et, là, je suis encore plus emporté par le torrent. On a tendance à être moins stressé quand on prend l'habitude des matches importants.

S'instruire de sa propre expérience

C'est dans l'épreuve de pistolet libre que l'action du doigt sur la détente est la plus importante. Si vous avez appris à garder une bonne image des organes de visée, et à vous concentrer sur cette image, quelque part à l'intérieur de votre zone de visée, et si vous savez tout simplement continuer à appuyer sur votre détente jusqu'au départ du coup, un départ non commandé, vous aurez découvert la technique qui fonctionne le mieux sous les pires conditions. Il m'a fallu plus de vingt ans, et une rencontre heureuse avec un entraîneur russe qui savait de quoi il parlait, pour apprendre ceci. Sinon je serais encore en train d'essayer de tirer au moment où mon pistolet passe juste au point idéal sur la cible.

J'espère que tous ces conseils sembleront logiques, et qu'ils amélioreront la courbe d'apprentissage chez quelques tireurs.

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